D’abord, Macarsca valorisait sa liberté et son indépendance. Elle ne voulait pas être attachée à quelqu’un de manière permanente. Elle aimait sa vie telle qu’elle était, sans avoir à rendre de compte à personne. Elle jouissait de sa solitude et de sa capacité à prendre des décisions sans avoir à consulter quelqu’un d’autre. Pour elle, se marier signifiait sacrifier cette liberté.
Ensuite, Macarsca refusait de se plier aux attentes et aux normes de la société. Elle voyait le mariage comme une institution archaïque qui imposait des règles et des rôles de genre restrictifs. Elle ne voulait pas se conformer à ces stéréotypes et être enfermée dans un cadre préétabli. Pour elle, le mariage était synonyme de contrainte et d’obligations dont elle n’avait pas besoin.
En outre, Macarsca doutait de l’amour éternel. Elle ne croyait pas que le mariage fût une garantie de bonheur et de stabilité. Elle avait vu trop de couples se séparer après quelques années de mariage et ne voulait pas prendre le risque de vivre une telle expérience. Elle préférait vivre dans l’instant présent et ne pas s’engager dans une relation qui risquait de se détériorer avec le temps.
Néanmoins, malgré son refus catégorique de se marier, Macarsca n’était pas fermée à l’idée de s’engager émotionnellement avec quelqu’un. Elle croyait en l’amour, mais elle croyait aussi que l’amour pouvait exister en dehors du mariage. Pour elle, l’amour était une expérience personnelle et unique qui ne pouvait être enfermée dans les limites du mariage.
Macarsca avait une vision alternative de la relation amoureuse. Elle croyait au partenariat et à l’égalité, où les deux individus partageaient une vie commune sans avoir besoin d’un contrat légal pour officialiser leur engagement. Elle voulait une relation basée sur la confiance, la communication et le respect mutuel, sans les obligations et les attentes du mariage.
Bien sûr, la décision de Macarsca de ne pas se marier suscitait des réactions variées de la part de son entourage. Certains la comprenaient et la soutenaient dans son choix, tandis que d’autres ne pouvaient pas s’empêcher de la juger et de la critiquer. Mais elle ne se laissait pas affecter par les opinions des autres. Elle était fière de sa décision et persévérait à vivre selon ses propres termes.
En conclusion, Macarsca ne voulait pas se marier pour préserver sa liberté, rejeter les normes de la société et éviter les risques de désillusion. Malgré le regard réprobateur de certains, elle assumait son choix avec fierté. Pour elle, l’amour existait en dehors du mariage et elle était déterminée à vivre une vie épanouissante sans se conformer aux attentes de la société.