Les Deux Cavaliers est une célèbre parabole tirée d’un poème oriental, qui a depuis été adaptée en d’autres formes d’art et est devenue un symbole de la dualité de l’existence.

Dans cette parabole, deux cavaliers sont en train de voyager à travers un désert aride. L’un d’eux représente la vie, tandis que l’autre représente la mort. Ils sont tous les deux en train de poursuivre leur chemin, chacun suivi par son propre destrier. La mort, personnage lugubre monté sur un sombre cheval noir, suit de près la vie, revêtu d’une robe pâle sur un cheval blanc.

Les cavaliers voyagent ensemble sur le même chemin, traversant les mêmes terrains hostiles. Le cavalier représentant la vie, portant un sourire sur son visage, est insouciant de la mort qui le suit de près. Le cavalier de la mort, quant à lui, est silencieux et patient, attendant tranquillement le moment opportun pour abattre sa faux.

Le voyage continue ainsi jusqu’à ce que, au détour d’un virage, la vie rencontre un obstacle insurmontable. À ce moment-là, le cavalier de la mort saisit l’occasion et lève sa lame, prêt à récolter l’âme de son compagnon épuisé. Mais avant que la faux ne puisse s’abattre, le cavalier de la vie se retourne, son sourire lumineux toujours sur son visage. Il tend sa main vers la mort, demandant sa raison de l’avoir poursuivi si longtemps.

La mort répond alors que c’est sa façon de montrer à l’homme qu’il est mortel, qu’il n’est pas éternel sur cette terre. Elle est là pour rappeler à l’homme de profiter de chaque instant et de ne pas prendre sa vie pour acquise.

Le cavalier de la vie prend alors conscience que sa destination finale est la mort, tout comme celle de chaque homme, et il acquiesce. Mais il dit à la mort qu’il veut d’abord profiter pleinement de sa vie, qu’il veut faire des choses qui en valent la peine et apprendre autant qu’il le peut sur cette planète.

La mort acquiesce également, reconnaissant que la vie a compris sa leçon.

Le poème se termine sur la morale que la vie est une leçon à apprendre, un cadeau à apprécier. Le temps est limité, alors il faut le vivre pleinement et s’assurer que chaque moment est vécu avec passion et intention.

Cette parabole est souvent citée dans diverses formes de médias et a été adaptée en diverses formes, telles que des peintures, des illustrations et des films. Elle a même été adaptée pour enseigner des valeurs et des leçons dans les écoles et les universités.

En fin de compte, Les Deux Cavaliers nous rappellent que la vie est une expérience limitée, mais qu’elle peut être pleinement appréciée si nous sommes conscients de sa préciosité. Nous devons vivre dans le moment présent et ne pas tenir notre vie pour acquise. Nous devons faire des choses qui en valent la peine et tirer le maximum de chaque opportunité que l’on rencontre. La vie est belle quand nous sommes conscients de sa finitude.

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