Le journal Echorouk El Yawmi couvre une large gamme de sujets, allant de la politique et de l’économie à la culture et au sport. Il publie également des opinions et des commentaires sur les enjeux nationaux et internationaux, ainsi que des reportages sur les événements qui se déroulent en Algérie et ailleurs dans le monde.
Le journal a adopté un format tabloïd en 2004, ce qui lui a permis de mieux séduire les lecteurs, notamment les jeunes. Echorouk El Yawmi tire à environ 400 000 exemplaires par jour, ce qui en fait l’un des journaux les plus lus en Algérie.
Malgré son succès, Echorouk El Yawmi n’a pas échappé aux critiques. Certaines personnes estiment que le journal manque d’indépendance et qu’il est trop proche du pouvoir en place. D’autres pensent que les articles du journal manquent de crédibilité et d’impartialité.
En 2012, Echorouk El Yawmi a été impliqué dans une controverse lorsqu’il a été accusé de diffamation par la ministre algérienne de l’éducation, Nouria Benghabrit. Le journal avait publié un article dans lequel il affirmait que Benghabrit avait organisé une fête en l’honneur de la reine d’Angleterre alors que le pays était en deuil. Le journal a finalement présenté des excuses et a retiré l’article.
Malgré ces critiques, Echorouk El Yawmi demeure un journal populaire en Algérie, et il continue de jouer un rôle important dans le paysage médiatique algérien. Il a récemment lancé une version en ligne de son journal, ce qui lui permet de toucher un public plus large.
Dans l’ensemble, Echorouk El Yawmi est un journal qui mérite d’être lu pour les informations qu’il fournit sur l’actualité algérienne et internationale. Toutefois, les lecteurs doivent garder à l’esprit que le journal a des biais et des opinions spécifiques, et qu’il est important de lire avec un esprit critique.