Pour tous ceux et celles qui rêvent d’étudier la médecine, il est important de connaître le nombre de places disponibles dans les universités et établissements de santé. Cela vous permettra de mieux planifier vos démarches et d’évaluer vos chances d’admission.

Les quotas de places

En France, le nombre de places disponibles pour la médecine est réglementé par des quotas fixés chaque année par le gouvernement. Ces quotas sont établis en fonction des besoins du système de santé, des capacités d’accueil des établissements et des contraintes budgétaires.

Le numerus clausus

Le numerus clausus est le terme utilisé pour désigner le nombre de places disponibles pour les étudiants en médecine, chirurgie dentaire, pharmacie et sage-femme. Il est fixé chaque année par le ministère de la Santé.

Le numerus clausus pour la médecine

Le numerus clausus pour la médecine varie d’une année à l’autre. En général, il tourne autour de 9000 places en première année commune aux études de santé (PACES).

Les critères de sélection

Il est important de préciser que le numerus clausus ne représente pas le nombre d’étudiants admis, mais le nombre de places disponibles. En raison du dispositif de sélection mis en place, le nombre d’étudiants admis peut être inférieur.

Les critères de sélection varient d’une université à l’autre. Généralement, les étudiants sont sélectionnés en fonction de leurs résultats au concours de PACES, qui comprend des épreuves de connaissances et d’aptitudes. Le classement obtenu lors du concours permet d’admettre les étudiants jusqu’à épuisement des places disponibles.

Les alternatives

Si vous n’êtes pas admis en médecine ou si le numerus clausus est trop limité, il existe des alternatives pour exercer un métier dans le domaine de la santé. Vous pouvez vous orienter vers d’autres filières paramédicales, telles que l’infirmier, le kinésithérapeute, l’orthophoniste, l’ergothérapeute, etc. Les places pour ces filières sont généralement moins limitées.

  • Infirmier : de nombreuses écoles proposent des formations en soins infirmiers avec un numerus clausus moins strict.
  • Kinésithérapeute : les études de kinésithérapie sont accessibles après une sélection et le numerus clausus est plus souple.
  • Orthophoniste : le numerus clausus pour cette profession est également moins limité.
  • Ergothérapeute : bien que la demande soit en augmentation, les places disponibles en formation sont plus nombreuses.

En conclusion, le nombre de places disponibles pour la médecine varie d’une année à l’autre en fonction du numerus clausus fixé par le gouvernement. Si vous n’êtes pas admis en médecine, il existe des alternatives intéressantes dans les filières paramédicales. Il est donc essentiel de bien se renseigner sur les capacités d’accueil de chaque formation et d’explorer toutes les options disponibles.

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